• Bonjour ! 

    Je vous informe que je suis en vacances pendant une semaine sans beaucoup de wifi, donc je ne pourrai surement rien poster.

    Bonnes vacances à vous !

    Mary Xoxo


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  • Aujourd’hui j’ai eu ma première paye. Une paye à quatre chiffres. Plus élevée que ce que j’avais calculé. Bien plus élevée que ce que j’avais espéré. Sur le coup, j’étais euphorique, j’ai sauté partout. Voir son compte en banque passer de 2 à 4 chiffres, forcément ça fait plaisir. Et puis je me suis dit, est-ce que je le mérite vraiment ? Alors oui, pendant un mois, c’était réveil à 3h50, bosser 8heures par jour pendant 5 voire même 6 jours, la fatigue, le boulot chiant, un peu dégradant, les remarques franchement sexistes des gars de l’usine. Mais est-ce que ça méritait vraiment cette somme ? Je n’ai fait ça que pendant un mois, mais ces gens, qui font un boulot bien plus pénible que ce que j’ai fait, toute l’année, qui soudent par -10 ou 40 degrés, qui se lèvent chaque matin de leur vie depuis 10, 20, 30 ans à 3h, qui ont 40min de trajet chaque jour, et qui sont payés moins que ce que je ne l’ai été, est-ce qu’il ne mériteraient pas plus ma paye que moi ? L’argent ne fait décidément pas le bonheur. Certes, je vais me faire plaisir avec mon argent, payer un voyage, un resto à mes parents, peut-être une machine à écrire, épargner pour plus tard, mais je ne me sens pas bien ce soir. Et puis je me dis, quand j’aurais fait mes 5 ans minimum d’études, ma première, voire ma deuxième ou ma troisième année dans le monde du travail, je ne toucherai même pas ça, alors que je le mériterai peut-être un peu plus que maintenant. Le monde du travail est décidément pire que ce que je pensais.

    Je sais, certains d'entre vous vont me dire : tu te plains alors que tu as eu de l'argent, etc, mais j'étais vraiment mal quand j'ai écrit ça il y a 3 jours, et je le suis toujours, j'ai un peu un goût amer à chaque fois que je dois utiliser cet argent.

    Mary.

     


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  • Il m’embrasse sur la joue et prend sa veste avant de partir avec mon père. Dès qu’ils passent la porte, je vois les regards et les sourires en coin que se lancent mes tantes. Je lève les yeux au ciel et monte dans ma chambre. Je termine le pull d’Alex et, comme il me reste de la laine, je décide de faire un petit pull et des chaussons pour son neveu. En 2h c’est bouclé. J’allais éteindre mon téléphone quand j’ai vu que j’avais un message d’Alex. Je lis et souris « Je suis bien rentré, ton père est génial. Encore merci pour tout Charlie. Xx ». Je l’éteins et ferme les yeux.

     

    PDV Alex.

     

    Le père de Charlie me demande mon adresse pour la rentrer dans son GPS, puis il démarre.

    -       -   Vous n’étiez pas obligé de me ramener, c’est très gentil à vous.

    -       -   Ne t’inquiète pas, ça me permet de fuir la maison… Je peux te dire que cinq femmes avec quasiment le même code génétique concentrées dans un si petit espace, c’est dur à vivre au quotidien !

    Nous rions. Puis il reste silencieux quelques instant. Ce n’est pas un silence agréable, c’est un silence pesant, comme s’il voulait me dire quelque chose. Ce qu’il finit par faire.

    -       -   Je ne suis pas idiot Alex. Je sais quand ma fille va bien ou quand elle va mal. Pendant des années, elle a été seule, triste, renfermée sur elle-même. Mais dès que tu es arrivé dans sa vie, elle s’est complètement métamorphosée. Elle est devenue souriante, elle nous parle, elle s’ouvre aux autres, je ne l’avais jamais vu aussi heureuse. Et je ne pourrais jamais assez te remercier pour ça. Mais depuis quelques temps, elle est redevenue comme avant. Triste. Elle refait la cuisine en quantités astronomiques. Sa prof de danse nous a dit qu’elle ne l’avait pas vue depuis un moment. Alors je ne sais pas ce qu’il se passe, parce que d’après ce qu’on a vu aujourd’hui, tout va bien entre vous. Alors j’aimerais savoir si tu sais ce qu’elle a.

    -       -   Votre femme m’en a parlé tout à l’heure. A vrai dire, je ne l’avais pas vraiment remarqué mais c’est vrai qu’en y regardant de plus près, elle a changé un peu de comportement.

    -       -   Et tu saurais me dire pourquoi ? demande-t-il en me regardant.

    Et là je suis choqué par son regard. Il ne pleure pas, mais n’en est pas loin. Je me rends soudain compte à quel point Charlie se trompe sur ses parents. Elle s’est enfermée toute seule dans cette bulle de solitude par culpabilité, de n’avoir jamais eu de frère et sœur, mais ses parents l’aiment, plus que tout au monde. Et je dois avouer que je ressens un peu de jalousie aux vues de la relation que j’ai avec mes propres parents.

    -       -   Je ne suis pas sûr mais… On va dire que je fréquente une fille depuis un peu moins d’un mois. On n’est pas ensemble, mais elle flirte avec moi. Ce n’est pas réciproque mais c’est vrai que ça m’amuse plus qu’autre chose. Et à cause de ça, je passe un peu moins de temps avec Charlie. Vous pensez qu’elle pourrait être jalouse ?

    -       -   Non, non. Ou alors elle ne s’en rend pas compte. Tu sais, Charlie ne connait rien en relation. Elle ne sait absolument pas comment gérer ses sentiments, ni les reconnaitre. Mais je peux te dire que vu comme elle te regarde… Je ne peux rien affirmer mais … Enfin, tout ça pour dire que je pense qu’elle se sent délaissée. Car elle n’a que toi, alors que toi tu as d’autres amis, ce qui est tout à fait normal. Mais tout ça est si nouveau pour elle. Je ne peux pas te demander de tout arrêter avec cette fille, je n’ai pas le droit et puis tu dois aller au bout de cette histoire, qui sait, ça peut déboucher sur une histoire d’amour, mais je te demande d’en parler avec Charlie s’il te plaît… je ne supporterai pas que ma fille souffre à cause d’un garçon, même si tu ne le fais pas du tout intentionnellement.

    -       -   Bien sûr, oui…

    Je reste perplexe. Je passe le reste du trajet à regarder le paysage défiler pendant que je réfléchis. Il s’arrête devant chez moi quelques minutes plus tard.

    -       -   Merci beaucoup pour cette soirée, et de m’avoir ramené aussi.

    -       -   C’est normal, merci à toi pour Charlie.

    Je souris et ferme la portière. Il attend que je sois entré dans l’immeuble pour repartir. Je rentre chez moi et balance ma veste sur la table. Je me déshabille en laissant mes vêtements en vrac dans l’appart et je vais dans la salle de bain. J’attrape mon téléphone et envoie un message à Charlie. « Je suis bien rentré, ton père est génial. Encore merci pour tout Charlie. Xx ». Je pose les mains sur le rebord de mon lavabo. Je lève les yeux et croise mon reflet. A quoi est-ce que tu joues bordel ?! J’ouvre le robinet et je me jette de l’eau sur le visage. Elle est glacée. J’enfile un caleçon et me mets au lit. Mais j’ai beau tourner et retourner dans les draps, le sommeil ne vient pas. Je me redresse et attrape mon téléphone.

    -       -   Allo ?

    -       -   Salut c’est moi, il faut qu’on parle.

     

          PDV Charlie

     

    Je me réveille le lendemain vers 8h. Je termine de monter ma vidéo et la programme pour 18h. Je vais ensuite déjeuner avec mes tantes et me préparer. Il fait encore frais en ce début de mois de février, aussi j’enfile un pull, une jupe et des collants de laine. Je travaille un peu mes cours puis mes parents m’appellent pour manger. Je retourne dans ma chambre pour emballer le cadeau pour le neveu d’Alex. Mais je me rends compte qu’il ne m’a même pas donné son prénom. J’allais lui envoyer un message quand on sonne à la porte. Je descends et le retrouve entouré de mes chères tantes. Je souris en secouant la tête et vais lui dire bonjour.

    -       -   Tu es prête ?

    -       -   Oui, laisse-moi juste enfiler un manteau et des chaussures.

    Je m’habille chaudement et nous partons. Sur le chemin du métro, il ne dit pas grand-chose, il semble un peu dans la lune.

    -       -   Alex ?

    -       -   Oui ?

    -       -   Tu ne m’as pas dit le prénom de ton neveu, souris-je.

    -       -   Ah oui, bah en fait… Je ne le sais pas, tout simplement, rigole-t-il. Ils ne l’avaient pas encore choisi apparemment.

    -       -   D’accord.

    Nous entrons dans le souterrain et par chance, le métro était déjà là. On s’installe et je me serre contre lui.

    -       -   Tu n’aimes vraiment pas ça hein ?

    Je secoue la tête négativement. Il enroule alors son bras autour de mes épaules.  Le trajet ne dure pas vraiment longtemps, mais il me paraît très long, Alex ne parle pas beaucoup aujourd’hui. Je pense qu’il a hâte de voir sa sœur pour s’assurer que tout va bien en personne. Nous arrivons à l’hôpital et nous nous rendons dans la chambre 201. Alex frappe et entre. Je le suis, un peu intimidée. Une jeune-femme est allongée, rigolant avec un homme assis sur un fauteuil.

    -       -   Alex ! Je suis tellement contente de te voir !

    Alex va rejoindre sa sœur qui lui ouvre les bras. Il serre ensuite la main de son beau-frère et me rejoint.

    -       -   Clara, Matthew, je vous présente Charlie. Cha, ma sœur et son mari.

    -       -   Enchantée, dis-je d’une petite voix.

    -       -   La fameuse, sourit Clara. Je suis ravie de te rencontrer.

    Je leur dis bonjour et Matthew me donne son fauteuil malgré mes protestations. Alex s’assoit sur le lit.

    -       -   Tout va bien ? demande-t-il à Clara.

    -       -   Tout va très bien Alex, assure-t-elle en lui prenant la main. Ne t’inquiète pas.

    -       -   Où est mon neveu ? D’ailleurs, vous avez choisi un nom ?

    -       -   Il est en couveuse, mais vous pourrez aller le voir sans problème. Oui, on l’a appelé William.

    Je souris. Alex me lance un regard.

    -       -   Pourquoi vous souriez ? demande Matthew.

    -       -   Le père de Charlie s’appelle William. Mais il va bien ? Je veux dire, pas de malformation ni rien ?

    -       -   Alex ! Arrête ! Il va très bien. Tu sais, maintenant, les enfants prématurés sont très bien pris en charge, et puis il n’est pas né avec beaucoup d’avance, on n’a pas à s’en faire.

    Alex me regarde et rigole.

    -       -   C’est mot pour mot ce que tu m’as dit hier.

    -       -   Parce que c’est vrai ! Même ma mère il y a 18 ans n’a eu aucune complication et je suis ici, alors de nos jours ils ont dû faire encore plus de progrès.

    -       -   Tout à fait, sourit Clara. Tu ne devrais pas t’inquiéter autant pour les autres. On devrait pouvoir ramener William à la maison d’ici deux semaines. Le seul problème, c’est que j’ai peur que ses vêtements soient trop grands.

    -       -   Oh, en parlant de vêtements. Je suis désolée ce n’est pas grand-chose mais… Tenez.

    Je tends le sac à Clara. Elle fronce les sourcils et déballe le paquet.

    -       -   Oh mon Dieu ! Matt regarde ! C’est trop mignon ! Merci beaucoup Charlie !

    Elle me serre contre elle, ce qui me surprend énormément.

    -       -   Ce n’est pas grand-chose.

    -       -   C’est vraiment trop chou.

    -       -   Elle m’a fait cette écharpe, sourit Alex en tirant dessus. Elle fait des robes absolument magnifiques.

    -       -   C’est vrai ?

    -       -   Il exagère, c’est juste un passe-temps.

    -       -   Mais oui, sourit-il en ébouriffant légèrement mes cheveux.

    Je lui lance un regard pour lui faire comprendre de parler d’autre chose.

    -       -   Alors Matt, tu as fini la chambre ?

    -       -   Pas tout à fait.

    -       -   Tu auras besoin d’aide ?

    -       -   Non t’inquiète, je vais gérer, il ne reste que quelques meubles à monter, et puis j’ai un bac +5 en montage de meubles Ikea grâce à ton déménagement, rigole-t-il.

    -       -   C’est vrai, le suit Alex.

    On continue à discuter quelques minutes enfin, ils parlent plutôt entre eux de gens que je ne connais pas, puis Alex me propose d’aller voir William.

    -       -   On revient, dit-il.

    Nous nous rendons à la pouponnière. Nous croisons une infirmière qui nous indique où se trouve le neveu d’Alex. Arrivés au bord de son lit, je le trouve magnifique, et surtout minuscule.

    -       -   Hey bonhomme, chuchote Alex.

    Il passe sa main par le petit trou et prends sa petite main dans la sienne.

    -       -   Tu peux le toucher si tu veux, me sourit Alex.

    Timidement, je passe ma main caresse la sienne. Il commence alors à remuer et saisit mon doigt. Je lâche un petit cri. Alex rit.

    -       -   Il t’aime bien on dirait.

    -       -   Merci Alex.

    -       -   De quoi ? me demande-t-il en haussant les sourcils.

    -       -   Tout.

    Il me fixe quelques instants, puis me sourit. Nous restons un long moment avec William, caressant ses petites mains, lui parlant. Puis une infirmière est venue nous dire qu’ils allaient lui faire ses soins, alors nous sommes retournés voir sa sœur.

    -       -   Il est vraiment adorable Cla, et il aime déjà Charlie, dit-il en me souriant.

    Je souris en rosissant. Nous restons encore un peu avec sa sœur mais elle commence à être fatiguée, alors on décide de partir.

    -       -   Merci beaucoup d’être venue Charlie, et pour les vêtements, c’est vraiment très gentil de ta part. Et puis je suis contente de t’avoir enfin rencontrée, Alex parle souvent de toi, sourit-elle.

    -       -   Merci, mais ce n’est rien, rougis-je. J’entends aussi beaucoup parler de vous.

    Elle sourit puis lance un regard à son frère, ce genre de regards qui ne sont compréhensibles qu’entre frères et sœurs, et qui veulent dire tellement de choses. Nous partons et nous reprenons le chemin du métro. Il est nettement plus souriant qu’à l’allé et parle plus.

    -       -   Dis Cha, ça te dirait d’aller faire du shopping avec moi la fin de la semaine prochaine ? Je dois me trouver des vêtements classes pour ma soutenance de rapport de stage et je pars dans trois semaines vu que je veux y aller une semaine avant histoire de m’acclimater et l’oral est après mon stage mais je ne suis pas sûr d’avoir le temps d’y aller en rentrant et je voudrais ton avis parce que tu sais… J’ai besoin d’un avis féminin et, je comprendrais si tu ne veux pas, tu as tes tantes et…

    -       -   Respires, le coupais-je en riant. Ça me ferait très plaisir, souris-je.

    -       -   Merci Cha.

     

    Il enroule son bras autour de mes épaules et me serre contre lui alors que nous entrons dans la rame. Pendant le trajet, il me raconte un peu plus son enfance.


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  • Bonjour à toutes et à tous !

    Me revoila avec un dessin qui m'a pris ... Plus de 8h. Mais bon, je ne sais pas ce que vous en pensez mais je trouve que ça en valait la peine. Ce sera sûrement l'un des derniers dessins avant un moment parce que je rentre en prépa et je n'aurais plus trop de temps mais je vous ferais un article là-dessus pour tout vous expliquer.

    Donc, voici Harley Quinn, de Suicide Squad, qui est, comme beaucoup je pense, mon personnage préféré. Elle est tellement dégentée, mais c'est ça qui me plaît, mais c'est surtout son amour inconditionnel pour le Joker et son caractère qui font que je l'aime. Bref, assez de blablatage. Pour vous expliquer le titre, c'est juste que... Il y a plein de couleurs, et ce n'est tellement pas mon style habituel ! Je ne sais pas encore si ça me plaît, mais Harley est un personnage tellement haut en couleur que ça lui va bien, mais je ne sais pas si je vais garder ce style pour les prochains.

    Je ne vous ai pas fait de pas à pas, même si j'en des photos depuis le début, tout simplement parce que je suis revenue sur à peu près toutes les parties depuis le début, donc j'ai refait 3 fois le nez, j'ai changé de coiffure parce qu'au début je l'avais faite avec ses couettes, même si je la préfère les cheveux lachés, mais j'ai fait un sondage auprès de ma famille et de mes amis, et ils ont préféré les cheveux lachés, donc voilà. Pour le fond, j'ai suivi les conseils de mon copain. 

    En fait, j'ai été très indécise tout le long de ce dessin, mais je pense que c'est parce que je n'ai pas fait comme les autres. Je ne suis pas partie d'une seule photo mais de trois, donc c'est plus compliqué mais j'aime le résultat donc c'est l'essentiel. 

    Après ce pavé, je vais peut-être vous laisser avec le dessin non ? :p

    C'est pas moi.

     

    (Désolée pour les taches de couleur en bas, c'était des essais couleur pour les cheveux et le maquillage :p)

    Je me suis achetée des estompes que j'ai testées pour la première fois sur ce dessin. Je dois avouer que j'aime bien, parce que c'est plus précis pour le visage, mais pour les plus grandes partie, je trouve que le doigt reste quand même la meilleure solution. 

    N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez en commentaires, ça me ferai très plaisir.

    En espérant que vous allez bien en ces fins de vacances,

    Mary, Xx.


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  • Bonsoir à toutes et à tous.

    Demain, je rentre en prépa scientifque. Je ne pense plus avoir le temps de poster, ou en tout cas plus aussi régulièrement (j'ai déjà été régulière dans mes posts ?). Bref, je vais continuer à écrire et à dessiner, dès que j'en aurais le temps, parce que de toute façon je ne peux pas m'en passer, sinon je vais péter un plomb là-bas. Certains ont une addiction à la cigarette ou à la drogue, moi c'est l'écriture et le dessin. Chacun sa merde comme on dit. Sauf qu'une pause clope est plus facile à caser dans un emploi du temps qu'un dessin de 6h ou un chapitre de 5 pages. Seulement, ce sera plus de l'écriture et du dessin "thérapeutique", pour moi-même. Je posterai peut-être des chapitres, mais je dois vous prévenir d'avance que je ne passerai plus autant de temps à les corriger, à les paufiner, parce que je n'en aurai tout simplement plus le temps. 

    Je voulais finir Charlie pendant ses vacances, au moins le tome 1, pour pouvoir vous prévoir des chapitres, mais je n'ai pas pu. Pour ne rien vous cacher, la couverture était déjà en préparation en collaboration avec Kolo, mais j'ai tout arrêter parce que je me suis dit : à quoi bon ? Tu ne le publieras jamais de toute façon, ce projet va rester au repos pendant minimum 2 ans, ton style va changer, ton vécu va avancer. En fait, je ne sais pas trop ce que va devenir ce blog, mes fictions. Peut-être que je me trompe, que j'aurai toujours le temps pour écrire un peu et vous poster un truc toutes les semaines ou deux semaines. On verra, mais je n'y crois pas trop. Je préfère me préparer au pire, et être agréablement surprise, que de me dire que j'aurai le temps et de me laisser submerger. 

    Je n'aurai normalement pas de connexion internet dans ma chambre, donc si vous laissez un commentaire, je ne pourrai y répondre que le week-end, je m'excuse d'avance.

    J'ai le coeur lourd en écrivant ces mots. J'espère que vous ne m'oublierez pas. En tout cas, vous ne pouvez pas savoir à quel point le nombre de visites, tous vos commentaires absolument adorables ont pu me mettre du baume au coeur, remonter un tant soit peu ma confiance en moi. Vous ne savez pas tout ce que vous m'avez apporté, et je ne pourrai jamais assez vous remercier pour ça. 

    J'espère à dans pas trop longtemps, même si j'en doute, l'espoir fait vivre comme on dit. 

    Je vous adore, vers l'infini et au-delà. 

    Mary. Xx


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